jadis , quand j'étais enfant nos enseignants n'avaient pas un niveau universitaire mais mon ame et mon coeur avant ma memoir sont marqués pour ne pas dire stigmatés de beaux souvenirs , des sorties de découvertes , des traveaux d'art en classe , de la tendresse , de la douceur , j'ai 32 ans et jusqu'a aujourd'hui quand je rencontre ma maitresse de primaire dans la rue mon coeur commence à battre , non par peur mais par amour , le temps a tracé ces marques sur son visage , mais je la vois toujours de la meme façon, j'avais deux mamans une à la maison , et une autre en classe , ma maman de classe ne rate pas une occasion, à me carssé les cheveux ou m'envoyé un joli sourir , et croyez moi , je l'aimais et je l'aime encore !et c'est bien elle qui m'a fait aimer l'école , pourquoi les enseignants ont changé de cette facon , pourquoi aujourd'hui ils ne font qu'attendre la paie chaque mois , les classe ont perdu leur atmosphère tiède d'autres fois , me manque cette petite famille , ou plutot cette grande famille qui naissait dans les classes , me manque , l'amour matérnel de la maitrtesse pour ces élèves , me manque le respect , la joie , la serenité des classe d'autres fois , je sais qu'ils y a ceux qui vont me dire ( alors là, tu n'as pas vu l'école des année 70) je sais mon mari et mes frères me le repetent sans cesse mais moi aussi j'ai vecu les plus belles années de ma vie au primaire et tous ca à cause des grandes dames avec un grand D qui nous enseignaient à l'époque , merci , mil merci de nous avoir offrir le pouvoir d'avoir des nostalgies, merci à madame mili et melle belhadj wided de l'école emir abdelkader ( sidi mabrouk / constantine ) années 1982/1987